LIAISONS INDUSTRIELLES ET UNIVERSITAIRES
La nouveauté du PANRAMA, comme moyen de création et de communication, entraîne des recherches de plus en plus nombreuses tant sur le plan technique, avec les nouvelles technologies, que sur le plan conceptuel du software. Les contacts de la société avec les universités augmentent et plusieurs travaux de fin d'études sont en cours en France et à l'étranger. De nombreux échanges professionnels existent aussi avec des industriels notamment avec les spécialistes de planétariums et pour la recherche scientifique.
L'objectif de la société ACT est d'augmenter encore ces échanges afin d'accélérer l'évolution de la projection hémisphérique dont elle est le témoin depuis ses origines.
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PROJETS
Les références de la société sont nombreuses par les implantations de salles fixes (Montpellier, Paris, Merlebach...) ou mobiles (salons de lauto, de lenfance, des Arts déco...) et par la production de films, notamment au format 35 mm 8 perforations (Labyrinthe, Attention, Langudoc-Roussilon Terre des possibles...). Beaucoup darticles et de travaux de fin détudes y font de plus en plus référence (Quid, dictionnaires...). Laugmentation des besoins, lévolution des conditions dexploitation en grands formats, la révolution actuelle de limage numérique ont conduit la Société ACT à sengager dans une nouvelle étape dexploitation en petites salles transportables avec des programmes de films courts sur disques durs. Cette solution, peu onéreuse, favorise la création sur des sujets très différents (fiction, musique, danse, sports, nature, voyages, patrimoine, etc.) en même temps quelle ouvre au spectateur des possibilités interactives dans le choix de ses programmes.
Cela sappelle le Cyberpanrama : une ou plusieurs duo-sphères de 3 m de diamètre que lon peut installer dans sa maison, dans un commerce ou dans un musée.
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LE PANRAMA
PRODUCTION ET RECHERCHE
DES NOUVELLES
TECHNOLOGIES DE L'IMAGE
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L'ŒIL EN LIBERTÉ
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QUATRE GÉNÉRATIONS POUR LE PANRAMA
La première génération de 1956 à 1966 est celle de la preuve de faisabilité en format 16 mm et de l'usage, en prise de vues, du premier objectif « fish-eye » dans le monde, construit à Paris par Kinoptik. La projection sur « écran total hémisphérique » incliné utilise un miroir concave au centre de la salle (Exposition universelle 1958 de Bruxelles)
La deuxième génération de 1967 à 1977 est celle du format 35 mm standard et de la recherche sur le nouveau langage découvert ; celle de la construction du centre de recherche de Clapiers, dans l'agglomération de Montpellier avec un écran de 12m de diamètre et de l'Exposition universelle 1967 de Montréal (salle de 6m)
La troisième génération de 1978 à 1998 est celle du « grand format » 35 mm vistavision et de la construction à Paris en 1981 de l'« Espace Gaîté » avec un écran de 18 m de diamètre. Cest aussi la mise en place de lobjectif spécial « fish-eye Panrama-Reosc » pour la projection directe depuis le centre de la salle.
La quatrième génération de 1988 à aujourd'hui est celle du cinéma numérique dont les premiers essais à Montpellier ont suivi l'évolution des nouvelles technologies, lesquelles, maintenant, permettent dobtenir la qualité requise. En même temps elles obligent une nouvelle pratique de la réalisation des films et une adaptation à de nouveaux marchés.
L'utilisation de multiples petites unités décran hémisphérique remplace « l'écran géant ».
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